Chevaliers et croisés rejoignent une nouvelle fraternité dont la vocation est de soigner les malades et les blessés. Son Patron est Saint-Jean le Baptiste et son fondateur est le bienheureux frère Gérard.
La Bulle pontificale du pape Pascal II érige la congrégation de l’Hôpital de Saint-Jean-de-Jérusalem en ordre religieux et confirme ses possessions, une étape décisive dans son développement en tant qu’ordre de chevalerie.
Le traité de Heimbach accorde au bailliage de Brandebourg une autonomie au sein de l’Ordre de Saint-Jean. Le bailliage aura dorénavant le droit d’élire son grand maître, le Herrenmeister.
L’Ordre de Saint Jean de Jérusalem de Rhodes et de Malte devient l’Ordre de Malte. A la même époque, le bailliage de Brandebourg, précurseur de l’Ordre de Saint-Jean actuel, embrasse la confession protestante à l’époque de la Réforme.
Le roi Friedrich Wilhelm IV réinstaure le bailliage de Brandebourg qui avait été dissous en 1810 à la suite des guerres napoléoniennes.
L’Ordre est régulièrement menacé de dissolution par le régime nazi. Plusieurs membres de l’Ordre participent à la résistance contre le régime et sont condamnés à mort pour s’être associés à la tentative d’attentat contre Hitler le 20 juillet 1944.
La confiscation de tous les biens de l’Ordre dans la partie orientale de l’Allemagne l’oblige à se reconstituer à l’Ouest. La réunification de l’Allemagne en 1990 lui offre la possibilité de redémarrer ses activités dans les nouveaux Länder situés dans l’ancienne République démocratique allemande.
L’Ordre de Saint-Jean, ou Grand Bailliage de Brandebourg, est une branche de l’Ordre Hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem qui a pris son autonomie au début du 14ème siècle.
Ordre protestant, il est actif principalement dans les pays où existe une tradition réformée.
Il réunit aujourd’hui 4100 membres ,34 000 collaborateurs et 46000 bénévoles ; il intervient dans 50 pays.
Principaux domaines d’activité :
hôpitaux, cliniques, maisons de retraite, ambulances et premiers secours, formation, assistance internationale, aide aux réfugiés.
Elle regroupe les membres français de l'Ordre de Saint-Jean, branche française de l'ordre international "JohanniterOrden"
Création de la commanderie Française des Oeuvres de Saint-Jean dont l’objet est d’aider les personnes dans la souffrance et particulièrement les malades.
L’action de Saint-Jean se développe sous forme de dons à diverses associations œuvrant dans le domaine médical (léproserie) ou de protection de l’enfance (maisons d’enfants).
Création d’un prix pour la recherche médicale pour le cancer, la leucémie et en régiatrie.
L’association décide de développer ses propres œuvres: création de la maison de familles « La Croisée » à Paris orientée vers l’hébergement et le soutien aux familles d’enfants leucémiques.
Ouverture d'une maison à l’hôpital Necker Enfants Malades ; début d’un partenariat avec les hôpitaux de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris.
Ouverture d'une maison des parents à l’hôpital Saint-Louis.
Transfert de la maison La Croisée à l’hôpital des Diaconesses de Reuilly, première maison d’accueil polyvalente au service de plusieurs hôpitaux ; la maison accueille les familles et les patients.
Décret du 4 novembre 2002.
Ouverture de la maison d’accueil de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (La Clairière).
L’association reçoit la propriété immobilière de la maison de retraite du Châtelet ; la gestion reste confiée à une association distincte.
Ouverture de la clinique du diabète à Tananarive (Madagascar) en partenariat avec l’association malgache AMADIA et avec les œuvres de Saint-Jean Suisse.
Création de la première maison hors région parisienne.
Nouvelle maison à l’hôpital Necker – Enfants Malades totalement dédiée à la médecine ambulatoire (accueil des enfants en traitement accompagnés de leurs parents).
Lancement du programme de soutien et d’accompagnement à des étudiants en difficulté sociale (programme Fil Rouge).
Création du groupe de Jeunes Saint-Jean dont l’action est orientée vers l’accompagnement de personnes handicapées.
Création de la Fondation Saint-Jean, fondation abritée au sein de la Fondation du Protestantisme dont la vocation est de recevoir des fonds pour soutenir les actions de Saint-Jean France.
Création de l’association d’Entraide Saint-Jean destinée à regrouper les actions de bénévolat (hors maisons hospitalières)
Ouverture d'une maison hospitalière à Bordeaux (CHU - Hôpital Pellegrin).
Ouverture d'une maison hospitalière de Montpellier (Institut Contre le Cancer).
Ouverture du centre de soins Saint-Jean à Andranovelona (50 km au nord de Tananarive) ; première étape dans le développement de la médecine de proximité dans les pays francophones.
Ouverture d'une maison hospitalière (CHU – Hôtel Dieu) orientée vers l’accueil de patients en chirurgie ambulatoire ; Saint-Jean s’adapte aux nouvelles priorités des hôpitaux.
Ouverture d’une maison hospitalière (Hôpital de Pierre Bénite); poursuite de l'implantation en province.
Inauguration d’une nouvelle maison hospitalière dans l’enceinte de l’hôpital de Pierre-Bénite.
Signature d’une nouvelle convention avec l’Institut du Cancer de Montpellier
Inauguration d’une nouvelle maison hospitalière implantée au sein de l’Institut du Cancer de Montpellier et signature d’une convention de partenariat avec l’Ordre de Malte France.
Célébration du 925ème anniversaire de l’Ordre de Saint-Jean et de l’Ordre souverain militaire de Malte.
L’Ordre de Saint-Jean, ou Bailliage de Brandebourg présent en France sous le nom d’Ordre de Saint-Jean France, est une branche de l’Ordre Hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem qui a pris son autonomie au 14ème siècle.
Ordre protestant, il est actif principalement dans les pays où existe une tradition réformée.
Il réunit aujourd’hui 4100 membres , 34 000 collaborateurs et 46 000 bénévoles ; il intervient dans 50 pays.
Ses principaux domaines d’activité sont :hôpitaux, cliniques, maisons de retraite, ambulances et premiers secours, formation, assistance internationale, aide aux réfugiés.
Célébration du 925ème anniversaire de l’Ordre de Saint-Jean et de l’Ordre souverain militaire de Malte.
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